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MARTINE HOSSELET-HERBIGNAT

 Sport pour tous et toutes 

Synonyme de dépassement de ses limites, de bonne santé, facteur de bien-être et de confiance en soi, occasion de rencontre et d’entraide, le sport semble n’apporter que des bienfaits, rappelés à grand renfort de médiatisation en cette année où la France accueille les Jeux olympiques. Mais pour les populations les plus défavorisées à travers le monde, le sport joue-t-il ce rôle émancipateur ?
En Europe, les enquêtes analysées sont unanimes : un faible niveau d’études et un niveau de revenu bas sont associés à une absence de pratiques sportives, d’autant plus chez les femmes et quand l’âge avance. De nombreux freins restreignent la pratique du sport pour les personnes en situation de précarité : « Le sport, ce n’est pas pour moi. »....

Le week-end du 12 avril 2024, une quarantaine de personnes de différents pays germanophones se sont rencontrées à Méry-sur-Oise. Durant ces trois jours, les participants ont discuté de la manière dont les différents pays travaillent et des collaborations qui pourraient être utiles. Nous étions présents avec huit personnes du Luxembourg.

2ème journée du cycle de formation en croisement des savoirs entre personnes en situation de précarité, professionnels de l’aide sociale et chercheurs.

Le vendredi 15 mars dernier, ATD Quart Monde et ses partenaires (Croix-Rouge luxembourgeoise, Arcus, AITIA*, Fondation Kannerschlass, Médecins du Monde et CNDS*) ont organisé la 2ème journée du cycle de formation en croisement des savoirs entre personnes en situation de précarité, professionnels de l’aide sociale et chercheurs et ayant pour thème « Qu’est-ce que la pauvreté ? ». 

*AITA ( Institut étatique d'aide à l'enfance et à la jeunesse)

*CNDS (comité national de défense sociale)

MARTINE HOSSELET-HERBIGNAT

Choisir le volontariat

Né en 1964 dans le camp de sans-logis de Noisy-le-Grand, le volontariat permanent du Mouvement ATD Quart Monde se fonde sur « la conviction que dans les zones de pauvreté excessive, nous ne pouvons plus nous abstenir d’investir le meilleur de nous-mêmes, à savoir des hommes et des femmes qui n’abandonnent pas une population au bout d’un ou deux ans de coopération technique, mais qui offrent leur personne pour de nombreuses années. » (Père Joseph Wresinski, conférence aux Nations unies, New York en 1985)...

Feedback sur la première phase été-automne 2023

Depuis quelques années, nous, personnes en précarité et personnes solidaires, engagées dans le Mouvement, rêvons de créer ensemble et grâce à l'appui de professionnels, un « événement culturel public », dans lequel les capacités et talents des uns et des autres formeront un tout.  Trois étapes avaient déjà été réalisées jusqu’en 2023.

Feedback 1ère phase collaboration avec MASKÉNADA asbl

Nous étions présents le week-end du 24 et 25 février 2024 au Festival des Migrations, des Cultures et de la Citoyenneté, organisé par le CLAE. Nous avions préparé un stand d’information et d’échange avec des livres et des documents.

Dans ce même cadre, nous avons organisé le samedi une lecture de notre  livre « 25 Joer Schreifatelier ».  

L’atelier d’écriture créatif du 17 février s’est déroulé sous le thème de  « Le dernier atelier », en effet il s’agissait du dernier atelier organisé par Martine et Monette.

« Quand on fait quelque chose ensemble, on ne se sent pas seul. » C’est ainsi que nous pourrions résumer – s’il le fallait - la journée du 16 décembre.

Pour nous mettre dans l’ambiance de Noël, nous nous sommes retrouvés dans la Maison Culturelle à Dommeldange.

Cette Université Populaire Quart Monde a eu lieu le 8 décembre en présence de Madame Christine Lejeune de la Ligue Luxembourgeoise d’Hygiène Mentale et avec le soutien de Madame Muriel Nossem, Conteuse d’histoires, qui a enrichi les témoignages et discussions avec 2 histoires passionnantes pour illustrer les réflexions.

Rapport "Comment préserver sa santé mentale ? "

MARTINE HOSSELET-HERBIGNAT

La pauvreté dans le milieu rural

Que recouvre exactement la notion de ruralité? Et surtout, qui
sont « les ruraux »?
Après les crises sanitaires des dernières années, on pense spontanément aux néo-ruraux, ces urbains qui ont tiré les leçons du confinement et sont allés s’installer dans l’espace rural. Depuis
plus longtemps, d’autres catégories de population sont parties
chercher dans les campagnes un habitat moins cher correspondant mieux à leur budget. Confrontées à l’expérience quotidienne, les images de cartes postales qui ont souvent motivé ces déménagements se sont évanouies....